Philippe Ep 05 : Premier Amour

PHILIPPE
EP 05 : PREMIER AMOUR


Les parents de Juliette étaient sur le départ, ils avaient l'air ravis de voir leur fille revenir en ma compagnie. Quand je les voyais saluer mes proches je devinais sans difficultés que la réunion de travail s'était très bien passée.

Grand père : Bon c'est une affaire qui marche ça !
Moi : Du genre ?
Luc : Quinze millions !
Moi : La famille a encore gagné des sous ! Cool on va rajouter ça à mon héritage .
Luc : ( en me caressant la tête ) Écoutez le ? le branleur, il ne pense qu'à son héritage .
Gp : Non mon bonhomme on va dépenser quinze millions. On va construire quelques installations sportives et culturelles. La première tranche des travaux va nous coûter quinze millions. Ça peut paraître bizarre de le construire ici, il n'y a pas deux mille habitants. Mais le village est à proximité d'une petite ville de quinze mille, d'un autre de vingt quatre et de quelques autres pour un total de soixante quinze mille habitants qui pourront tous profiter de ces installations …
Moi : C'est cool ça !

Les jours qui suivaient se passaient vite, mon grand père me donnait une autre carte de crédit mais les montants étaient très faibles, presque rien, à peine de quoi survivre, en se serrant la ceinture … j'avais droit à mille DI par semaine ! Comment voulez-vous que je vive avec ça moi ? Je suis un gosse de riche moi !

Mon grand père : Tu sais mon petit bonhomme, il a fallu que je négocie ça ferme avec ton père. C'est tout ce qu'il a voulu céder !
Moi : Il était tellement en colère depuis l'autre jour ?
Gp : Il vaut mieux que tu ne le lui rappelle pas cette aventure. Au début il voulait te retirer l'autorisation de quitter ton interna.
Moi : Il voulait me séquestrer ? Mais je vais me plaindre moi !
Gp : Arrête de faire ton capricieux, et profite de ta deuxième semaine de vacances. Juliette à téléphoner, elle demandait si …
Moi : Non pas Juliette !

Mon grand père me regardait sans comprendre !

Moi : Elle a voulu, elle a voulu, elle a voulu …

Finalement je lui racontais.



Gp : Oh mon pauvre petit bonhomme ... et tu as eu grand peur …

Bon c'est clair, là il se foutait de ma gueule ... On parlait encore un long moment. Cette aventure l'amusait beaucoup.

Gp : Bon je lui dit quoi à la petite Juliette ?
Moi : Je ne sais pas moi ? Invente !
Gp : Tu sais qu'elle a un frère un peu plus vieux que toi. Qui vient d'entrer à la PK université et qui aimerait bien te connaître …
Moi : Oui et alors ?
Gp : Il vient d'arriver au village et il est en vacances pour la semaine. Et son père aimerait bien que tu le connaisse !
Moi : Et toi tu as envie de revoir le maire du village ?
Gp : En tout cas lui je sais qu'il ne rêve que de nous voir régulièrement.

Mon grand père repartait.

Gp : Je vais l'inviter à dîner et à passer l'après midi ici.

On était dimanche matin, moins d'une demie heure plus tard, mon grand père remontait dans ma chambre …

Gp : Bon le maire du village, sa femme, sa fille que tu connais déjà et leur fils débarquent dans une heure pour le dîner, ils resteront une partie de l'après midi. Tu auras tout le temps pour rencontrer le fils, c'est un étudiant très sérieux , je viens de parler avec son directeur qui ne me dit que du bien de lui ! Joséphine, tu te souviens de Joséphine ( je faisais oui de la tête ) je l'ai convaincue de venir dîner également on parlera des travaux de construction, elle est dans le métier. Elle vient avec ses deux filles, comme ça on laissera les filles ensemble et les garçons … Soyez sages !

Puis en sortant il se retournait vers moi.

Gp : Tu seras sage j'espère !

Je faisais oui de la tête avec un grand sourire un peu bête. Aussitôt je me faisais tout beau avant de passer à table, je mettait même un jolie veste et une cravate, en fait je faisais exactement comme à la maison. Si ça se trouve il est mignon le petit jeune, et si en plus il est aussi entreprenant que sa sœur je veux faire bonne impression.


Je surveillais la route, et quand une voiture arrivait je me précipitais à la fenêtre. Un femme très belle en sortait … '' Elle n'était pas comme ça la femme du maire l'autre jour ? … ''. Suivaient deux filles dans mes âges … '' C'est Joséphine ! PFFF. Par contre je ne l'avais pas reconnue Joséphine … '' … Un peu plus tard arrivait une autre voiture. Je me précipitais à la fenêtre, C'était le maire. Sa femme sortait par la portière passager venait ensuite la fameuse Juliette. Celle là si jamais elle me saute dessus je cris. Elle était suivie par un jeune homme … Il était grand avec un bonne tête, elle le taquinait et il ne se défendait presque pas. Il avait une silhouette mince mais visiblement musclée. C'est normal pour un étudiant à l'université PK … Finalement ça devrait le faire !

Bon vous avez deviné à quoi je pense ? Mais c'est vrai quoi, il paraît que les étudiants dans l'université PK ils ne sont pas farouche. Ils sont obligé de porter un dispositif de chasteté et ça les rend … Chauds ! Un peu comme moi sauf que moi j'ai pas besoin d'en porter un ! Mais enfin je viens d'avoir dix sept ans aussi … Lui ne devait même pas en avoir vingt. Je m’attardais un instant devant le miroir, j'étais craquant. Pourvu que ce ne soit pas Juliette qui craque !

Je déboulait comme un fou au moment ou on allait ouvrir la porte. Tout le monde me regardait un peu étonné.

Luc : Mais qu'est-ce qui t'arrive à toi ?
Moi : Rien je viens accueillir nos hôtes. ( En me mettant bien droit, bien digne )
Luc : Tu sais que Joséphine est là depuis un moment ?

Je me précipitais vers Joséphine, lui faisait la bise, j'en faisais de même à ses filles et reprenait ma place … Cette scène n'avait duré que quelques secondes, plus personne ne bougeait, ils me regardaient et j'avais l'impression qu'ils s'étaient tout mis en pause …

Un valet ouvrait enfin la porte. Le maire n'avait pas encore eu le temps d'appuyer sur la sonnette.
Mon grand père l’accueillait, les présentations, les salutations … Pfff c'est long tous ces protocoles … Il s'appelle Ludovic, de plus prêt il est assez mignon et en plus il a l'air très sympathique, je discutait avec lui, comme je l'espérais quand j'ai vu arriver les deux filles de Joséphine, elles accaparaient Juliette. Ça c'est cool !

On passait à table, Ludovic avait été placé à côté de moi. Nous avions des invités aussi je ne dépareillais avec mon joli costume, le personnel était étonné mais c'est uniquement parce qu'il n'était pas habitué à me voir comme ça !

Moi : Mais dit moi Ludovic tu veux faire quoi cet après midi ?
Ludo : Je sais pas moi … Ta maison est tellement extraordinaire, je ne sais pas ce qu'on peut faire ici moi !
Moi : On peut aller se baigner !
Ludo : C'est vrai que vous avez une plage, mais je pense qu'il fait un peu frais …
Moi : Mais on a aussi une piscine …
Luco : Mais c'est que je n'ai pas de maillot de bain.
Moi : C'est pas gênant ça !
…
Moi : Je veux dire par là qu'on t'en trouvera un si tu veux …
Ludo : Pourquoi pas !
Moi : Ensuite on peut faire un peu de moto …
Ludo : Je n'ai pas le permis.
Moi : Si on ne sort pas de la propriété c'est pas grave.
Ludo : Ça pourrait être sympa !
Moi : On peut aussi faire un tour en avion …
Ludo : Mon baptême de l'air, ouai j'adore l'idée.

A la fin du repas on ne savait plus par quoi commencer.

Moi : Moto ?
Ludo : Moto ! Mais je n'ai pas de tenue …
Moi : Viens avec moi on va trouver ce qu'il te faut …

Je voyais Alex qui passait par là, je l'appelais …

Moi : Tu pourrais trouver une tenue de moto pour mon pote Ludovic ? On sera dans ma chambre !

D'un œil il jaugeait la taille qu'il fallait.

Alex : Je te l’emmène dans une minute.

On se retrouvait Ludovic et moi dans ma chambre, il était un peu ébloui par le décor.
Alex nous apportait la tenue de moto complète.

Moi : C'est ta taille j'espère ?
Ludo : Ça m'en à l'air ! …
Moi : Mais ne reste pas comme ça met la !
Ludo : Je garde ma chemise ?
Moi : Non tu pourrais l’abîmer, il vaut mieux la retirer.

Ce qu'il ne faut pas faire pour le voir torse nue celui là ! … Mais c'est qu'il était super bien foutu. Une très belle musculature, fine, élégante, une peau qui semblait très douce … Ça fait envie tout ça … C'était bon je bandais !

Ludo : Je ne garde pas le pantalon non plus …
Moi : Enlève tout, la tenue est complète …

Et c'est ce qu'il faisait … Il enlevait tout … Là je bavais. Il avait un beau cul, les cuisses étaient musclées et fine et son corps était totalement dépourvu de poil. J'avais la bouche ouverte, un peu comme …

Un con qui ne comprend plus ce qui se passe.

Il se retournait. De face il était encore plus beau, je n'avais plus qu'une seule envie … Le prendre dans mes bras et l'enculer … Faites pas gaffe c'est mon côté romantique ! Mon regard se posait sur son entre-cuisse. Il portait un de ces dispositif en titane … Titane … Ça veut dire qu'il le porterait toute l'année scolaire, et plus si affinité !

Je ne pouvais pas détourner mon regard.

Il me souriait avec un petit air triste dans le regard. J'étais amoureux !

Ludo : Tu ne te changes pas ?

Je faisais comme lui. Il ne loupait rien, il était toujours à poil au milieu de ma chambre.

Moi : Tu portes une PK Titane … Euh … Ça fait longtemps ?
Ludo : Trois mois, depuis le début la rentrée universitaire. Et toi ça fait longtemps que tu portes une PK ?

J'étais à poil mais il ne voyais que de dos.

Moi : Euh …
Ludo : N'ai pas honte, on est pareil avec un truc comme ça sur nous !
Moi : Oui mais je n'en porte pas !

Je me retournais, il me regardait et faisait un large sourire. Je bandais ferme !

Ludo : C'est joli ça ! Je pensais que, comme tu es le fils du PDG tu en porterais un depuis longtemps.
Moi : Mon grand père est intervenu, on n'est pas obligé d'en porter une avant d'entrer à la fac … Mais moi je ne veux pas !

Il me regardait et j'avais comme l'impression que ça ne lui déplaisait pas.

Ludo : On s'habille ?

Je sursautait, j'avais recommencé à rêver, et il me réveillait. On s'habillait rapidement. Je l'emmenais au garage. J'avais l'image de son corps devant les yeux. Je trouvais sa cage de chasteté vraiment sexy. Bon pas pour moi mais lui ça lui allait bien, il la portait bien, il était vraiment beau comme ça, je bandais toujours comme un fou !

Il y avait des casques de toutes les tailles. Au passage je lui montrais mon cadeau d'anniversaire, ma nouvelle moto. '' Mais elle c'est une routière donc je ne la sortirais pas '' . On prenait chacun une moto de sport et on fonçait au travers de la propriété. Avec ce genre de moto sportive on est pas obligé de rouler sur la route. On traversait les champs, la forêt, on allait s'amuser à faire la course sur la plage. On rigolait bien quoi. À chaque fois qu'on s'arrêtait je le regardais avec beaucoup de sympathie.

On s'amusait pendant plus de trois heures. Quand on faisait une pause plus tard je le regardais avec beaucoup d'amitié.

Moi : Tu es en vacances, non ?
Ludo : Bein oui, pour encore une semaine !
Moi : Ça te dérange si je t'invite à passer une semaine ici ?
Ludo : Ça serait avec plaisir, mais tu crois que … ?
Moi : Il n'y a aucun problème, ils seront tous d'accord.
Ludo : Dans ce cas ...

On finissait par revenir, ça faisait quatre heures qu'on était partis. On était recouverts de terre, de sable, on était également trempés. Son père et mon grand père étaient sur la terrasse, ils discutaient.

Gp : Regarde Lucien dans l'état ou il nous reviennent ces deux là.
Lucien : Mais c'est pas vrai, vous êtes propres tous les deux !
Moi : Papy j'ai invité Ludovic à passer la semaine ici, il est en vacances …
Gp : C'est une très bonne idée mon bonhomme !
Lucien : Mais je ne voudrais pas vous déranger, il faudrait peut être demander à Luc ou à Bob …
Gp : Ils sont d'accord, ils sont toujours d'accord. J'espère que pour toi ça ne pose pas de problème ?
Lucien : Non pour moi c'est d'accord …

Il n'osait pas refuser. La mère de Ludovic et sa sœur arrivait, ils disaient au revoir à leur fils et il nous laissaient. Avec mon nouveau copain on remontait dans ma chambre. Nos vêtements étaient pliés sur mon lit. On fonçait dans la salle de bains. Je le regardais se déshabiller mais c'était avec avidité désormais, et j'avais bien l'impression qu'il en faisait de même. Je bandais encore comme un fou.

On passait sous la douche. Nos regards se croisaient et on se regardait avec beaucoup de complicité. Il me frottait timidement le torse, juste sous une épaule avec un savon. Je rigolais et lui faisait de même. Il me répondait en rigolant aussi, on se frottait avec plus d’insistance, on se rapprochait l'un de l'autre, on se frôlait, ma queue touchait sa cage de chasteté et se redressait encore un peu plus. Au bout de quelques instants on s'embrassait, bien serré l'un contre l'autre, chacun frottait le dos de l'autre.

Nos caresses devenaient immédiatement plus fortes et plus intimes … Nos baisers devenaient plus doux, plus tendres. Il n'avait pas de poil sur le corps, et je ne sais pas si c'était naturel, moi j'en avais très peu et c'était naturel. Sans prévenir il se mettait à genoux et me caressait la queue. Je le laissais faire.

Il me masturbait doucement, par moment il passait le bout de sa langue sur ma queue. Je soupirais à chaque fois. Il relevait les yeux pour voir mes réactions. Je gémissais de plaisir et je lui caressais les cheveux.

Ludo : C'est la première pour fois toi ?
Moi : Presque !

Il souriait et reprenait. Il ouvrait largement la bouche et avalait mon gland. Je sentais sa langue qui tournait tout autour de mon gland. Pour moi c'était presque la première fois mais pas pour lui, ça c'est sûr. Il savait y faire il avait de l'entraînement.

Ma queue s'enfonçait plus profond dans sa bouche, je frissonnait. Rapidement elle entrait en entier, ça ne durait pas, il reculait aussitôt son visage et reprenait son souffle. Il me regardait de nouveau, me faisait un grand sourire et reprenait.

Ensuite il se relevait, on se prenait dans les bras, on se serrait l'un contre l'autre. Notre étreinte devenait intense.

Ludo : Je veux que tu me prenne !

J'étais un peu surpris mais avec mes récentes aventures je n'étais pas vraiment pris au dépourvu. Il se retournait, s'appuyait contre le mur, écartait les jambes et tournait la tête en arrière. Je passais mon visage par dessus son épaule et l'embrassais. Ma queue appuyait contre son anus, il gémissait. Je poussais, ça rentrait doucement, il gémissait dans ma bouche. Je poussais complètement ma queue entrait complètement, il gémissait encore plus fort. J'écartais mon visage et le regardait. Il avait les yeux fermés, il faisait une sorte de grimace et continuait à gémir.

C'était un peu de plaisir et beaucoup de douleur ? C'était un peu de douleur et beaucoup de plaisir ? … C'était entre les deux ! Une chose est sûr, il y avait du plaisir. Avec ma courte expérience je savais déjà que ça pouvait faire mal, très mal mais que ça pouvait être bon, vraiment très bon. Je me retirait doucement, ses yeux semblaient se retourner complètement et il fermait les paupières. Je revenais, il soufflait fort et gémissait de nouveau. Je prenait mon rythme, je me retirais puis revenais en accélérant le mouvement. Je le sentais trembler.

Je continuais de plus en plus vite, je le sentais s'abandonner dans mes bras. J'avais passé un bras sur son ventre et le tenais bien, l'autre par dessus son épaule, je lui caressais son visage, il tournait son visage de nouveau et on s'embrassait avec une grande passion. J'accélérais mes mouvements, je sentais son souffle qui se remplissait d'une plainte. Par moment il poussait des cris.

Mon bras descendait vers son dispositif de chasteté et je le caressais, je lui attrapais les couilles et les massais avec vigueur mais sans lui faire mal. Sa respiration devenait rapide, bruyante et rapide. Il gémissais maintenant à chacune de ses ses respirations, il tremblait, il poussait quelques cris et je le sentais, il jutait. Un flot de sperme coulait de sa PK, je sentais son corps de contracter, son anus se serrer contre ma queue et quelques instants plus tard à peine je jutais à mon tour.

Je poussais un cri de plaisir, je me contractais, je tremblais à mon tour puis je m'appuyais sur lui. On reprenait notre souffle. Un voix se faisait entendre. C'était Alex …

Alex : Philippe ? Tu es là ?
Moi : On est sous la douche !
Alex : J'ai apporté des vêtements pour ton ami. Je prends vos tenues de moto. Vous avez besoin de quelque chose ?
Moi : Non tout va bien. Merci !

Je terminais cette phrase en donnant un baiser sur le dos de mon amant. Puis je me retirais, il poussait encore un cri. On terminait notre douche, on se séchait puis on revenait dans le salon … Je vous ai dis que dans ma chambre il y avait un coin salon ?

On restait un moment encore comme ça à poil à discuter.

Moi : Ils sont tous comme toi à l'université PK ?
Ludo : Non mais presque !

Je veux y aller !

Moi : Mais ils portent tous un dispositif PK !
Ludo : Alors là oui c'est une obligation, pas de passe droit, même les profs, le directeur … Enfin tout le monde quoi !

Je veux pas y aller !

Moi : Les mecs ils sont comment ?
Ludo : Ils sont tous très bien, on fait tous du sport et on est tous très beaux !

Je veux y aller !

Moi : Et le truc, mon père m'a dit qu'il faut le porter toute l'année.
Ludo : C'est exact !

Je veux pas y aller !

Je ne veux pas de ce truc moi, il n'en est pas question. Si jamais mon père veut me faire porter ce truc je … Je ne sais pas ce que je fais mais je le fais !

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!